7 février 2007
Petite valse funeste...
Ces silhouettes dansantes encore
Sur le bout de tes seins me dévorent
M'aveuglent de leurs ombres pressantes
Jusqu'à ce que plus rien je ne sente
Et s'efface à présent devant le souvenir
L'instant qui s'oublie là, sépulture de chair
Ce souvenir qui n'en finit plus de mourir
Cette valse qui s'en fout et me fuit, ma chère
Publicité
Publicité
Commentaires