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Journal des ateliers Points de Suspension
18 décembre 2006

SurToutContreMéditations et peut-être bien plus encore...

Cruauté d'un réveil qui de son nom tue un rêve
C'est donc dans mon sommeil que je n'avais de trêve
Moi qui croyais valser sous les flots de ton lit
Que ton corps et mon corps ensemble étaient unis
Voilà que je découvre à jeun et sans café :
C'est derrière mon front que la valse est dansée !
Oui, j'ai l'aveu sincère
Je rêvais de celle qui me rendait heureux
Et ce sans vous déplaire
C'est de vos fiers attraits dont je tirais les voeux
Vos soupirs dans mon cou mille fois faisaient feu
Une armée de frissons vers moi levait les yeux -
Mais le moment sonna pour moi d'ouvrir les miens
Quand votre douce voix en l'air cria "J'ai faim" !
Pauline, s'il vous plaît, soyons un peu sérieux
Le café est mon art mais j'en ai de bien mieux
S'il faut que je dorme pour vous laissez oeuvrer
Alors c'est bien sous terre que je veux reposer !

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